Finales 2010 Place libre gomme
Par Pilotakadak infos le mercredi 9 juin 2010, 11:13 - Lien permanent
Tout d’abord, Pilotakak Infos profite de ce billet pour tirer un grand coup de chapeau et un grand merci à Thierry Chaudat pour l’organisation sans failles de ce championnat.
Nous connaissons maintenant les affiches des 3 finales du championnat de gomme pleine. Vous trouverez les scores ici : CHAMPIONNATS_PALETA_GOMME_2010.pdf.
Pour la Ligue2B : E1 (Massy 2) vs E2 (PPB13 2)
Pour la Ligue 2A : A4 (ACBB) vs B1 (Massy 2)
Pour la Ligue 1 : Us Métro 1 vs Us Métro 2
Nous vous rappelons que les 3 finales se joueront le 12 juin à Chiquito aux horaires suivantes :
17h00 – Gomme Pleine – Finale Ligue 2B
18h00 – Gomme Pleine – Finale Ligue 2A
19h00 – Gomme Pleine – Finale Ligue 1
Les finales seront suivies par la remise des récompenses et un apéritif offert par la ligue.
Venez nombreux.
Commentaires
Au secours la Fête basque est sinistrée, le public ne suit plus, le programme est pauvre, y a pas d’ ambiance, la bouffe est chère pout ce K c’est.
comme les vieux sont bourrés ils ne s’en rendent même pas conte !
Vraiment de pire en pire. Pas bon pour la pelote.
pas d’ambiance : ça se crée pas l’ambiance ?
amusant non ?
le site du Métro si prompt à s’enthousiasmer pour de petites perfs locales est silencieux depuis des mois sur ses brillants résultats en championnat corpo.
Quelque chose de honteux a cacher ?
Du genre des joueurs notoires épinglés pour inscription frauduleuse si la fédé faisait respecter les textes…
Bonjour ” Belatz”,
tu as perdu contre des joueurs du Métro pour etre aussi revendicatif contre eux ?
César.
PS: quel finesse ton anagramme….moi pour info c’est Beltza
De quoi, que lis-je Beltza c’est vous, de quel droit vous appropriez vous ce nom ?
Hondarribi beltza est une variété de vigne (Vitis vinifera) rouge. On le connaît aussi avec d’autres noms comme Hondarrabi Beltza, Hondarrabi Gorri, Ondarribi Beltza, Ondarrabiya Beltza, Ondarrubiya Beltza et Ondarrubiya Negra.
Hondarrabi fait référence à la ville de Fontarrabie ou Hondarribia en basque, et beltza signifie « Noir » en basque mais correspond à la couleur « rouge ». La langue basque donne une autre vision du vin dans sa forme nominative. Le vin rouge se dit ardo beltza, qui se traduit par « vin noir » et le vin rosé se dit ardo gorria qui se traduit par « vin rouge ».
L’Arrano beltza (“aigle noir” en basque) est un vieux symbole basque et navarrais qui montre un aigle noir sur un fond jaune. Il est la plupart du temps, mais pas exclusivement, utilisé par des radicaux basques comme un des symboles de l’Euskal Herria ou Pays basque avec l’Ikurriña (drapeau basque). Il correspond à un aigle royal basque ou Golden Eagle pour les anglophones ou un Águila Real pour les hispanophones qu’à un simple aigle noir sur un drapeau. On prend référence sur l’Aquila Chrysaetos Homeryi comme race d’aigle. C’est une race protégée car on en comptait qu’un millier en 1990 dans la péninsule ibérique. C’est un symbole fort tels que l’Ikurriña, le Lauburu et le Zazpiak Bat.
Peinture murale de Batasuna Guipuscoa, 2003
L’aigle noir était à l’origine le sceau du roi Sanche III de Navarre qui, en réunissant l’Aragon et la Castille, a eu sous sa couronne tous les territoires de culture et de langue basques, y compris des territoires traditionnellement castillans. Son royaume allait de la Galice à la mer méditerranée. Selon l’interprétation nationaliste basque, le règne de Sancho III constitue un précédent historique pour les aspirations de l’unification des territoires bascophones sous tutelle d’un état indépendant. D’une perspective espagnole, elle est l’une des premières tentatives à former une Espagne unifiée.
Sans parler de la villa.
Son histoire commence en 1825 lorsque le cultivateur Dominique Daguerre, propriètaire de ” Trespots”, lors d’un échange avec la commune, obtint ce champ curieusement implanté sur les rochers. Son fils Etienne vendit ce “cassaou de Trespots”, également appelé ” champ du rossignol ” au notaire Alexandre Dihinx. Après sa mort, deux autres propriétaires se succédèrent.
L’emplacement de la villa avant sa construction
Le ” champ du rossignol ” resta vierge de construction jusqu’en 1882, date de sa vente à Ange Dufresnay, directeur général de la compagnie d’assurances le Phénix à Paris. A cette époque, le terrain était clôturé par un baradeau avec quelques tamaris. Un sentier permettait d’en faire le tour. Les Biarrots ne se privaient guère d’aller pêcher ou flâner le long de ce pittoresque chemin.
La construction de la maison fut confiée à l’architecte Alphonse Bertrand secondé par l’entrepreneur A. Joly. N’étaient son spectaculaire donjon néomoyenâgeux et sa tourelle en poivrière construits par Dominique Morin en 1889, la villa de plan rectangulaire serait, somme toute assez banale.
Sa situation insolite sur les rochers, sa proximité avec le “Pont du Diable “, son nom de ” Belza ” signifiant noir en basque, en ont fait pendant des décennies l’antre du mystère, alimentant les légendes les plus folles de sorcellerie ou de revenants.
En 1908, le cinéma mit à profit ce site exceptionnel pour servir de décor à diverses scènes de films.
En 1923, la propriétaire Mme Dufresnay loua la maison à Grégoire Beliankine, beau-frère d’Igor Stravinsky. Il reconvertit la villa en restaurant russe, mais ne pouvant utiliser le nom de Belza, il l’appela le Château Basque. Des dîners de gala somptueux s’y déroulèrent .
Il y eut la fête russe et la fête japonaise auxquelles succèdèrent la fête de Neptune et celle de Bacchus. Pour les nuits d’Afrique, le jardin devint forêt vierge. Rien n’y manquait, ni les lianes, ni les animaux exotiques, depuis le gorille jusqu’au boa enroulé autour d’un…tamaris.
En 1926, les choeurs cosaques firent entendre tous les soirs les airs populaires russes, après quoi, sans transition, on dansait le charleston avec frénésie.
Le Prince de Galles, futur Edouard VIII, était un adepte convaincu de ses soirées. Les grands-ducs russes se croyaient revenus au pays et s’en donnaient à coeur joie.
En 1927, entièrement rénové, le cabaret reçut ses clients dans une salle transformée en auberge
campagnarde du XVIIe siècle, à l’époque des mousquetaires, avec du mobilier Louis XIII,
murs tapissés de tentures rouges…
Le krack boursier de 1929 n’empêcha pas la fête de continuer mais rien ne serait plus comme avant
et le pire était à venir.
Après avoir été réquisitionnée en 1940, elle fut restaurée et divisée en 7 appartements. Mais la discorde
entre les copropriétaires fut à la base de la dégradation de la Villa Belza qui subit un premier incendie.
Elle fut rachetée et la tour restaurée, mais le 8 Juin 1974, un second incendie ravagea la maison détruisant
les deuxième et troisième étages. Il y eut des procès interminables, des lenteurs administratives,
la maison resta ouverte à tout vent, vite squattée.
Mais, le miracle se produisit : un marchand de biens parisien racheta tous les lots et
rénova la maison qui menaçait ruine.
En 1997, la Ville a classé la Villa Belza.
Alors là où la terre, le feu et l’eau se rejoignent à la Beltza, sois humble César.
Bonjour César,
pur hasard, je ne connaissais pas l’existence de ton pseudo.
Je ne vais pas en faire une tartine culturo-historico etc…comme mon prédécesseur, mais c’est dit : cet anagramme est un pur hasard.
Moi je ne suis qu’un modeste faucon.
Bien à toi,
Belatz.
Bonjour Villa.
Merci pour toutes tes explications.
César
PS: moi aussi j’aime beaucoup Wikipédia